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En 2013 : Du 18 juin 2013
au 19 Décembre 2013
Réalisé en 2012
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TRÈS CHÈRE FRONTIERE

Vendredi 23 aout 2013

Nous voulions faire connaissance avec ce petit pays anglophone perdu dans une mer hispanophone.
Ce ne sera sûrement pas le meilleur souvenir de ce voyage.
Ce que nous avons pu constater, en tous cas pour BELIZE CITY, c'est sale et même souvent très sale.
Les trottoirs sont défoncés, il vaut mieux regarder ou on pose ses pieds.
Sur, la place principale, comme sur quelques rues voisines ou sont les grandes banques, c'est relativement correct, mais nous, malgré sa réputation de ville dangereuse, nous n'hésitons pas à prendre quelques rues de traverse, et là ce n'est plus le même décor.
Ce n'est pas ce pays qui va me réconcilier avec la mentalité des anglophones... "Je suis détenteur de la langue universelle et donc ne comptes pas sur moi pour essayer de te comprendre si tu ne la maîtrise pas".
Si la plupart des Beliziens sont aussi ouverts qu'une porte de prison,  heureusement, heureusement, il y a des exceptions et quelques rares personnes on fait un effort et ont essayé de communiquer. Par bonheur, il y a des immigrés des pays voisins parlant spanish.

On aime ou on aime pas, il faut sortir du pays.

Ce qui ne nous était jamais arrivé en Amérique du sud, ou en 2012 nous avons franchi les frontières, parfois à plusieurs reprises et par des postes différents, arrive dans cette partie du monde...

PAYER POUR POUVOIR PASSER LA FRONTIERE...

Nous avons eu la surprise au sortir du Mexique. Nous avons payé l'équivalent de 16 Euros par personne, payable par carte ou en espèces.
L'an dernier, nous avions pris l'habitude de nous débarrasser de la monnaie locale avant de quitter le pays, car généralement, ces monnaies ne sont pas échangeables ou à des taux exagérés. Généralement, sitôt passé la frontière il y a un distributeur.
Comme d'habitude, nous arrivons à la frontière sans espèces. A la descente du bus pour passer à pieds la frontière Belize-Guatemala on apprend qu'il faut payer pour sortir, sinon c'est catégorique, on passe pas. Payement impératif en espèces.
Moment de panique.
Par chance, un passager Italien, du bus nous prête 50 Dollars US. A rendre en monnaie locale sitôt rencontré un distributeur ,
Je paye et sur 50 $ US on me rend 5 $ Belize soir 2, 5 €.
Passage côté Guatemala, il faut aussi payer. Mais la, on parle Espagnol et j'explique. La policières éclate de rire en voyant mon misérable billet. Elle me le pique quand même et nous laisse passer.
En fait ce sont des pourboires obligatoires. On nous explique que c'est ainsi pour toutes les frontières d'Amérique centrale.
Conclusions, sur les conseils de l'italien, aux frontières nous passerons avec chacun une centaines de $ US que tout le monde accepte.

SI VOUS DEVEZ VOYAGER DANS CES CONTREES NE FAITES PAS LA MÊME ERREUR.

Notre voyage se poursuit au Guatemala.